Le trio Akasha est le fruit d’une magnifique rencontre entre trois Jazzmen européens,
Peter Hertmans, en maître d’œuvre accompli, a convié le tandem Charlier/Sourisse à une immersion « organique » dans l’univers de ses compositions originales.
Entre dialogues harmoniques et joutes rythmiques le trio prend délibérément le temps de s’attarder au détour des mélodies, inspirées par les univers lyriques et délicats de John Abercrombie ou de Richie Beirach.
« Pour nous Akasha est une véritable expérience, l’interplay est guidé par les silences, et l’écrin de la tradition, au centre du jeu, est une terre nourricière qui nous permet de pousser l’alchimie du trio toujours plus loin... »
Akasha, une musique élégante née d’une complicité forte entre trois improvisateurs inspirés, en pleine maturité.

« Un vibrant hommage à ce musicien d’exception Michael Brecker »
Pour un trio comme celui-ci, le fait de se retrouver autour d’un musicien comme Michaël Brecker n’est pas anodin.
A première vue, pas de saxophoniste à l’horizon…  Mais pourtant, cette génération de jazzmen a grandi au son du saxophone de ce grand savant fou, véritable comète dans les années 80, qui s’est malheureusement éteinte en 2007.
Il a imposé son alphabet musical à toute une génération de musiciens et à ce jour, a rejoint le panthéon des légendes du jazz.
 …Une des raisons qui a poussé, le trio Charlier/Sourisse/Winsberg à lui rendre ce vibrant hommage, sans compter l’immense bonheur de faire revivre sa musique aujourd’hui !
Nous avons choisi une dizaine de compositions de Michael (Il était également un compositeur inspiré et novateur).

Perico Sambeat :   saxophones (Espagne)
Benoît Sourisse :   piano (France)
Massimo Cavalli : contrebasse (Italie / Portugal)
André Charlier :   batterie (Belgique / France)
Un « vrai » quartet européen.
Quatre musiciens de différentes cultures, qui aiment à se retrouver sur le même terrain de jeu, se délectant des silences, des envolées lyriques ou encore des joutes rythmiques…
Une musique folle et rafraîchissante, aussi généreuse que jubilatoire, nourrie d'une belle histoire d'amitié entre musiciens du même continent.

Conscient que la majorité des artistes de jazz, afin de s’inscrire dans la tradition, ont revisités tôt ou tard les standards tout au long de leur carrière, Jean-Marie a senti que c’était le moment opportun de se frotter à cet exercice périlleux tant les comparaisons sont nombreuses.
Sur les 9 titres,  figurent 7 standards de jazz américain, arrangés par Jean-Marie  ainsi que deux compositions «Hamaika» de JM Ecay et «Juggling in central park» de Benoît Sourisse. 
Le trio atteint sur cet opus sa pleine maturité.  L’interaction collective, la fluidité des improvisations et l’impression générale qui se dégage de ce CD, confère à Jean-Marie une légitimité et une identité qui l'inscrit, sans complexes, dans la lignée des trios de guitare jazz de ces illustres confrères.

Depuis vingt-cinq ans, le duo André Charlier; batterie et Benoît Sourisse; claviers est devenu un incontournable de la scène française et ne cesse de surprendre pour ses nombreux projets.
Au fil des années, à travers les multiples concerts et rencontres musicales, le projet de créer un Big Band Charlier/Sourisse est apparu aux deux musiciens comme une évidence.
Leur musique, « comme un jeu de légo entretoisé multipliant les lignes de fuites, les superpositions, les à-pics vertigineux » se prête à merveille à une écriture pour grand ensemble.
Ils ont ainsi confié 13 compositions originales extraites de leurs différents albums à trois arrangeurs parmi les plus reconnus de la scène européenne : Pierre Drevet, Carine Bonnefoy et Stan Sulzmann qui ont réalisé des arrangements et orchestrations pour dix-sept musiciens!

La guitare d’Olivier Louvel, fidèle à sa fibre voyageuse, répond à l’appel de rivages inventés.  Plus que le style, c’est le son qui soucie ici l’aventure.  Pistes ethniques, échappées vocales, l’improvisation n’est jamais aussi à l’aise pour s’ébattre que dans l’enclos strict de la composition.  Ouverture et couleurs, mot d’ordre d’un album concept à consonance pop.

Après son premier album, Inner Stories, salué par la critique en 2011 et une tournée à travers la France, la pianiste et chanteuse Raphaële Atlan a repris les chemins des studios.
C’est au cours de ses divers voyages de l’autre côté de l’Atlantique que Raphaële a puisé son inspiration dans l’écriture de ses propres compositions savamment inspirées par la musique Brésilienne, le jazz, mais aussi la pop et le folk.
Ses nombreuses influences telles de Sting, Brian Blade, Joni Mitchell en passant par Maria Rita, Joao Bosco et Chico Buarque apportent à son répertoire une grande ouverture musicale. Les textes originaux confirment ainsi le talent de Raphaële pour saisir la vie dans une écriture à la fois poétique et universelle.
Pour ce faire, à la formation initiale : Raphaële Atlan : piano et voix, Lucas Saint-Cricq : saxophones, Zacharie Abraham : contrebasse, Nicolas Charlier : batterie s’ajouteront la participation du guitariste Romain Pilon et les percussions de Natascha Rogers et Adriano DD.
Toujours entourée par le duo exceptionnel qui avait dirigé la réalisation du premier album, Benoît Sourisse et André Charlier, d’autres rencontres ont donné lieu à de fructueuses collaborations, notamment avec le pianiste Vincent Bidal, ou encore avec le vocaliste américain Ken Norris.
A la croisée des chemins, dans un désir insatiable de nouveaux horizons, la musique de Raphaële Atlan est plus que jamais à son image : généreuse, multiple, enthousiaste et résolument tournée vers le monde.

CLARO!…En Français: "clair", "sonore", "lumineux" ,"intelligible", mais aussi :"bien sûr", "évidemment"! Les voies empruntées par Laurence Allison et ses expériences sont multiples: jazz pluriel , musique du monde et contemporaine, chanson…
Depuis son adolescence où elle la découvre, elle explore , étudie et chante la musique du Brésil et sa langue. Cet amour devait se faire jour , et cet album naître des retrouvailles avec la musique d'Edu Lobo, de la rencontre et de la collaboration avec le trio Charlier/ Sourisse /Charbonnel et des compositions que Laurence Allison écrit alors pour donner du grain à moudre à ce formidable animal de feu à trois têtes et pour fêter les soixante-dix ans d'Edu en faisant écho à son oeuvre.
CLARO c'est la musique riche, lumineuse et forte d'Edu Lobo, légende vivante de la Música Popular Brasileira, chantée par Laurence Allison et célébrée par ses compositions. La fusion de deux mondes puissants et singuliers.
La générosité et le son unique du trio Charlier / Sourisse / Charbonnel, qui souffle sur cet univers vibrant et solaire.
C'est aussi une histoire de fidélité et d'amitié avec huit invités, huit personnalités qui marquent immédiatement chacune des plages de l'album.
Une flûte caressante et déchirante, un quintet de saxophones et clarinette qui joue les orchestres de chambre, la force sereine d'une guitare , le flot arpégé d'une harpe qui souligne les affinités classiques et traditionnelles des musiques du Brésil, un piano qui dit l'attirance mutuelle entre les compositeurs brésiliens et le jazz.
CLARO est un remerciement adressé à Edu, au chanteur, au guitariste, au compositeur, à l'homme impressionnant de simplicité, pour toutes ces années de musique joyeuse et grave.

Pendant ces expériences, il n’a néanmoins jamais cessé de défendre son projet de petite formation où peut s’exprimer la riche palette du soliste dans toute son interactivité.
Après dix merveilleuses années de collaboration avec Frédéric Favarel (guitare), Marc Buronfosse (contrebasse) & Antoine Banville (batterie), Stéphane se devait de graver une trace concrète de cette étape devenue tellement rare.
Ce nouvel opus reflète les nombreuses facettes de leur travail collectif ; des compositions originales du leader, bien sûr, mais aussi des autres membres du groupe, ainsi que des improvisations solo de chacun d’eux, jalonnent ce véritable voyage instrumental. D’humbles hommages sont rendus à travers quelques titres. Le quartet interprète également une composition d’Eddy Louiss (qu’Eddy avait lui-même enregistré avec Stan Getz, René Thomas et Bernard Lubat en 1971) ; titre passeur générationnel qui relie le musicien à son histoire, un peu comme des musiciens américains le feraient avec un des « standards » de la comédie musicale.
Pour canaliser cette énergie collective Stéphane, comme à son habitude, a délégué la direction artistique à un ami musicien dont la confiance réciproque se veut irréprochable. Il a fait appel à Pierre-Alain Goualch, fabuleux pianiste et compositeur dont les collaborations d’excellence ne se comptent plus (André Ceccarelli, Ernie Hammes, Randy Brecker…), lui-même concepteur de magnifiques albums sous son propre nom.
Vous l’aurez compris, cette « Pewter Session » qui constitue le tout nouvel album du quartet, est à leur complicité musicale ce que « les  Noces d’Etain » sont à une vie couple. C’est un bonheur d’être convié à leur petite célébration par l’écoute de ce nouveau répertoire.

Il nous livre ici son troisième opus "Gemini mode".

Collaborateur régulier de Billy Cobham depuis 8 ans , sa notoriété dépasse nos frontières. Connu pour son toucher et son éclectisme, Jean Marie a toujours mis l'improvisation au centre de son expression artistique.

Les 9 titres composés par Jean Marie dévoilent une matière première riche en mélodies.

La fluidité du swing fait oublier qu'on a souvent à faire à des mesures asymétriques. Le tout enregistré live en studio, dans la plus pure tradition de la formule du trio jazz. Dans cet exercice exigeant et difficile, l'improvisation omniprésente combinée à l'originalité des thèmes confère à ce trio une personnalité et une couleur propre. Avec cet album, ce trio exprime ici sa pleine maturité. Créé en 2005 avec André Charlier et Jean Michel Charbonnel, il est le fruit d'un long parcours collectif, musical et humain.

Le 5ème Opus « Multiquarium » Les chemins empruntés durant toutes ces années par André et Benoît, au cours de leurs nombreux périples, les ramènent aujourd’hui la tête remplie de mélodies insolites, nourries aux « grooves » sauvages de leurs rythmiques de feu, « piano, contrebasse, batterie ». Leur « Multiquarium » telle une jungle déjantée et poétique, ressemble à un écrin bouillonnant d’histoires improbables. Il en jaillit neuf pièces dont l’optimisme incorrigible est une réelle invitation à la danse.

Pour donner souffle et vie à cette musique, les deux compositeurs ont choisi de rester fidèles aux musiciens qui sont à leurs côtés depuis des années : Claude Egéa, Stéphane Guillaume, Pierre Perchaud et Jean-Michel Charbonnel. Les voix des flûtes et du saxophone, mêlées à celle de la trompette, se glissent dans l’écriture comme dans un costume sur mesure, sublimant le son « Charlier/Sourisse » désormais en pleine maturité.

Pierre Perchaud nous présente son deuxième album dans une formation reduite, en compagnie du contrebassiste Nicolas Moreaux, et du saxophoniste New Yorkais Chris Cheek qu’on a pu entendre aux côtés de Charlie Haden, Paul Motian, Brad Meldau et bien d’autres. Ensemble ils nous livrent un son dense, chaleureux et profondement lyrique. Rester au plus près de l’essence de ces nouvelles compositions, telles qu’elles lui sont apparues la toute première fois, a été son ambition pour ce disque. Les amener jusqu’au bout de leur voyage, sans perdre la magie de ces premiers instants où l’on pense avoir fait une découverte extraordinaire, dans lesquels on flotte pendant des heures avec délectation. Ayant composé la plupart des morceaux de cet album avec la sonorité de Chris et de Nicolas en tête, le choix de la formation s’est imposé à lui.

Membre de l’Orchestre National de Barbès pendant ses dix premières années et sideman recherché (Billy Cobham, Jaleo/Louis Winsberg, Laurent Cugny, Geoffrey Oryema), Olivier Louvel a multiplié ces dernières années les collaborations prestigieuses : Manu Katché, ONJ, Nana Vasconcelos, David Linx, Rick Margitza, Anne Ducros, André Manoukian…
Bendik Hofseth - successeur de Michael Brecker dans Steps Ahead - l’a également enrôlé dans l’aventure de son dernier disque aux côtés de Mike Manieri, Antonio Sanchez, Scott Colley et Gil Goldstein.
Olivier Louvel lui rend ici la pareille en l’accueillant aussi bien au ténor qu’au chant, avec l’appui du tandem Charlier-Sourisse, duo incontournable du jazz européen, et les interventions ponctuelles de Yannick Boudruche (chanteur de Stones Project avec Stéphane Huchard), Gilles Coquard à la basse et Hervé Gourdikian au doudouk.
Savoir avant tout que l’animal pop est polymorphe et adaptable, éclectique et contrasté, à l’aise dans le plein comme dans le délié.
Tenu en laisse,  il se love, se prélasse dans l’enclos feutré de la rêverie, au soleil paisible de balades éthérées, mais peut sans crier gare briser ses liens et, en félin soudain assoiffé de vent et de galops, se dégourdir les jambes sur des rythmiques fourmillantes. Puis, repu, s’apaiser, retrouver son souffle et ses esprits sur un trot mesuré.
Tel est l’animal pop, nourri à deux veines réconciliées : celle, économe, des étendues nordiques, ventées d’harmonies  dépouillées, et l’autre, viscérale, organique et profuse, en prise avec les racines du rock et du blues. Entre ces deux terrains de chasse, l’improvisation jette ses ponts.

Avec ce premier opus intitulé « Inner Stories », Raphaële montre qu’elle occupe une place à part dans le paysage des chanteuses d’aujourd’hui : celle d’une jeune artiste bien ancrée dans son époque, chanteuse et surtout musicienne, qui s’invente et crée ses propres histoires et nous invite dans l’intimité de son for intérieur.
Marquée par le jazz actuel et disposant d’une solide culture de la tradition, Raphaële s’entoure pour ce premier album de jeunes musiciens de choix et de grand talent (Nicolas Charlier, Lucas Saint-Cricq et Zacharie Abraham), dont la présence enthousiaste offre à son timbre de voix clair, parfois cristallin, mais aussi puissant et chaleureux, un véritable écrin.
Que ce soit dans ses propres compositions, au sein de titres écrits en collaboration avec Benoît Sourisse et Stéphane Guillaume, ou encore dans les reprises de morceaux rares de Sting et de Wayne Shorter, il se dégage de ce premier album une alchimie réussie

Après trois albums avec des collaborations prestigieuses tels que Jerry Bergonzi, Kenny Garrett, Kurt Rosenwinkel, André et Benoît ont fait appel à un des trompettistes des plus étourdissants de la scène internationale, Alex Sipiagin (Dave Holland, Chris Potter, Mingus big band…).
“Imaginarium est un disque un peu barge, riant, festif et poétique. Si la formule n’était pas un cliché, on aurait envie de dire qu’il s’y passe toujours quelque chose. Car au fond, c’est exactement ce que l’on perçoit en l’écoutant : au premier plan comme à l’arrière, dans les compositions comme dans les solos, sur le clavier ou dans la batterie, ce monde que Charlier et Sourisse déclinent en onze volets fourmille de vie, de chaleur et d’émotion.
On ne craint pas de s’y engager, ni d’y rester longtemps. Et le mieux que l’on puisse faire est d’inciter ceux qui ignorent encore à quoi il ressemble à franchir le pas.                    Vincent Bessières (jazzman,so jazz, France musique)

« Par 4 Chemins » La musique prend souvent vie à la croisée des chemins, là où se rejoignent toutes
nos inspirations, toutes nos expériences, toute notre histoire. Depuis toujours, Pierre Perchaud se nourrit
de la musique des autres - de ses maîtres classiques, de ceux qu'il côtoie, de ce qu'il écoute, des compositions
des nombreux groupes auxquels il a apporté sa pierre comme si tout cela devait par ricochet, mieux
encore faire murir ses talents de leader.
Aujourd'hui, sans mettre en veilleuse sa personnalité de laborantin, Pierre Perchaud a recentré les débats,
autour de quelques collaborations finement choisies. Il s'entoure pour son premier disque du pianiste Pierre
de Bethmann, du contrebassiste Nicolas Moreaux et du batteur Antoine Paganotti.

Une formation tout à fait insolite, composée de solistes d'exception, au service d'une écriture totalement originale.

"Ecouter la musique de Stéphane Guillaume est toujours comme une bouffée d'air pur ... Chaque pièce sur ce CD est un autre pas de géant dans cet incroyable voyage musical que Stéphane a entrepris.  Je suis content qu'il se soit embarqué sur un tel chemin, et lui sais gré de pouvoir le suivre en écoutant ce CD ..."                            Peter Erskine

À travers ce troisième opus, André Charlier et Benoît Sourisse vous invitent à parcourir les sentiers de leurs racines musicales, nourries par les éléments organiques et originels du jazz : les rythmes africains (poésie des sons et des percussions) et la lumière harmonique européenne se sont mêlés peu à peu sur le sol vierge de la Louisiane.

L’album est aussi celui de la rencontre avec le guitariste américain Kurt Rosenwinkel (complice de Brad Mehldau, Mark Turner…) dont le lyrisme et le phrasé hors du commun le hissent de haut vol, Stéphane Guillaume (saxophone, clarinette) et Pierre Perchaud (guitare, banjo)

A travers leur nouveau projet "Eleven Blues" les deux musiciens présentent aujourd'hui 11 compositions qui trouvent leurs origines dans cette genèse du jazz. Ils apportent une sensibilité et une vision moderne et actuelle à cette musique qu'ils considèrent comme le "berceau" de leurs inspirations musicales.
Pour illustrer au mieux cette "voix du Blues" ils font appel à l'un des plus grands jazzmen d'aujourd'hui, le saxophoniste Kenny Garrett et s'entourent également de deux magnifiques musiciens français, Jean-Marie Ecay (guitare) et Stéphane Guillaume (saxophone soprano, clarinettes).

“Aujourd’hui on s’taille”  Est un album confidentiel, dans lequel Guy Marchand ne dissimule pas sa fragilité d’homme sensible et amoureux. Il nous confie avec une grande tendresse, et parfois avec humour, ses sentiments intimes, que l’on recueille en se délectant, au fil des étapes de ce “p’tit bout de chemin”.
Une balade réjouissante dans l’espace et dans le temps, bercée par la chaleur d’un accordéon, la vitalité de la guitare espagnole ou la voix feutrée du piano, qui confèrent à la musique une proximité “palpable” entre les mots et les sons.